
Jésus sent son cœur se serrer devant l'immense besoin de tous ces gens devant lui. Il perçoit cette foule comme languissante et abattue. Pourtant aucun signe extérieur ne la distingue du commun des mortels. Il voit ces gens comme des brebis sans berger. Il sait que les brebis ont besoin d'un berger, car le berger signifie pour elles la sécurité, la nourriture et le repos assurés. Bien sûr, Jésus ne pense pas à leur situation matérielle, mais à leur état spirituel. N'a-t-il pas déclaré être le Bon Berger, venu pour que les brebis aient la vie et qu'elles soient dans l'abondance ? N'a-t-il pas évoqué le voleur qui ne vient que pour dérober, égorger et détruire les brebis, ainsi que le loup qui les ravit et les disperse ? (Jean 10.10-18)
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